Les Japonais s’opposent aux funérailles nationales de Shinzo Abe

Une semaine après le Royaume-Uni, c’est au tour du Japon d’organiser des funérailles nationales : mardi 27 septembre, l’archipel rendra un dernier hommage à son ancien premier ministre, assassiné le 8 juillet. Mais l’heure n’est pas au recueillement : cette cérémonie suscite la polémique.

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Tokyo (Japon).– « Montrons au gouvernement que nous sommes décidés à dire non », scande la chanteuse et activiste Keiko Ochiai, devant un parterre de 13 000 manifestant·es, rassemblé·es, lundi à Tokyo, pour s’exprimer contre les funérailles nationales de Shinzo Abe, ancien premier ministre du Japon, abattu en pleine rue le 8 juillet à l’âge de 67 ans.

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