Comment Berlin a basculé en faveur de la livraison de chars à l’Ukraine

Le très prudent chancelier allemand n’a accepté la fourniture de chars Leopard 2 qu’à la condition que les États-Unis envoient aussi des M1 Abrams, ce qui sera le cas. Mais derrière cette « victoire » apparente, Olaf Scholz a une fois de plus irrité ses alliés et refusé à Berlin une position de « leadership ».

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Berlin (Allemagne).– Olaf Scholz est génial. La chose ne fait pas de doute, au moins pour Martin Schulz, l’ancien président social-démocrate du Parlement européen, comme il l’a expliqué mercredi 25 janvier dans les médias allemands, après l’annonce de l’envoi de chars Leopard 2 en Ukraine.

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