Le moment était solennel. La semaine dernière, à La Haye, Eurojust lançait à l’initiative de la France une coopération judiciaire basée sur les Football Leaks, la plus grande fuite de l’histoire du journalisme. Neuf pays (huit États européens plus les États-Unis) étaient réunis. Au menu : le partage des 12 millions de fichiers informatiques fournis au parquet national financier (PNF) par le Portugais Rui Pinto, alias « John », la source des Football Leaks, qui a déjà permis à Mediapart et ses partenaires de l’EIC de multiplier les révélations sur la face noire du foot business.
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