La Nouvelle-Zélande pourrait empêcher les très riches d’acheter sa citoyenneté
Le nouveau gouvernement travailliste néo-zélandais pourrait revenir sur la loi permettant d’acheter sa citoyenneté sur fond de crise du logement, rapporte le Guardian.
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Le nouveau gouvernement travailliste néo-zélandais, issu des élections de septembre 2017, pourrait revenir sur la procédure accélérée dont bénéficient les personnes très fortunées pour accéder à la citoyenneté du pays. Le ministre du logement Phil Twyford l’a confirmé. Ce dernier prépare une loi pour interdire l’achat de logements existants aux étrangers, afin de lutter contre la spéculation et le mal-logement dans le pays. Cette loi ne devrait pas concerner les riches ayant accédé facilement à la nationalité néo-zélandaise, mais le gouvernement lance donc l’idée de revenir sur cette législation.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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