Quand il a quitté la résidence officielle d’où il a dirigé et mis en coupe réglée l’Angola pendant près de quatre décennies, José Eduardo dos Santos n’a eu qu’à se déplacer de quelques kilomètres pour s’installer dans une énorme propriété, avec piscines, héliport et plusieurs maisons et dépendances où vivaient déjà d’autres membres du clan familial. Bâtisseur de ce refuge, clos de hauts murs, îlot de verdure au milieu des bidonvilles ? le groupe Odebrecht.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous