Des condamnations verbales à la pelle. Un plan de paix qui ne sert ni à arrêter la machine de guerre du régime syrien ni à enclencher un début de processus politique. Une voie onusienne bloquée par les divisions de la communauté internationale… Si, devant la tragédie syrienne, les diplomates ont en tête l’exemple de la Bosnie et des guerres de l'ex-Yougoslavie, les Syriens établissent une toute autre comparaison : lassés et consternés par les ambivalences du soutien international à leur combat, ils évoquent aujourd’hui la similitude de leur destin avec celui des Palestiniens.
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