Entre radicalité et respectabilité, les Verts hésitent

Alors que les actions de désobéissance civile montent en puissance, Europe Écologie-Les Verts peine à se faire entendre. Sur fond de luttes internes pour leur congrès, certains s’inquiètent d’une légitimation de la violence, d’autres d’un manque de proximité avec ces mouvements. 

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Peut-on être à la fois radical et audible ? Le dilemme divise les Verts. Alors que les actions de désobéissance civile pour dénoncer l’inaction climatique et les grands projets écocidaires se multiplient – des blocages du périphérique parisien du collectif Dernière Rénovation aux happenings muséaux de Just Stop Oil, en passant par la manifestation de Sainte-Soline (Deux-Sèvres) contre les mégabassines –, les responsables d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) peinent à en bénéficier. Pire encore, ils donnent parfois un spectacle déconcertant d’eux-mêmes. 

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