Le premier ministre a annoncé de nouvelles mesures contre la pauvreté. Insuffisantes, selon les associations d’aide aux plus précaires. Elles estiment qu'un million de personnes supplémentaires ont basculé dans la pauvreté.
Le Parlement européen a fini de voter vendredi la politique agricole commune (PAC) pour 2021-2027. Le Conseil des États membres a lui aussi rendu sa copie. Ni l’un ni l’autre n’intègrent le changement climatique et la chute de la biodiversité dans ce nouveau cadre.
Le parquet algérien a requis une peine d’un an de prison ferme à l’égard du directeur de publication de « Tout sur l’Algérie » (TSA), un des principaux sites d’information francophones. Son tort ? Avoir publié un document public, dans un article de 2016.
Comment les collégiens de Tourcoing à Clichy-Sous-Bois ont-ils réagi à l’attentat, loin de leurs classes ? Aux diatribes islamophobes captées à la télé ? Comment vivent-ils d’habitude les cours sur les religions ou la laïcité ? Paroles brutes.
Le nord de l’Angleterre, la banlieue sud de Madrid ou le « croissant pauvre » à Bruxelles : des territoires délaissés et densément peuplés sont frappés de plein fouet par la deuxième vague de l’épidémie en Europe. La mise en place de mesures ciblées suscite d’intenses débats.
Trois policiers condamnés en première instance pour violences aggravées sur des adolescents ont été relaxés ce vendredi par la cour d'appel de Paris. Les preuves, pourtant, ne manquaient pas dans ce dossier.
Malgré une injonction du tribunal administratif, le centre pénitentiaire de Seysses (Haute-Garonne), au taux d’occupation de 141 %, a tardé à organiser un dépistage massif du Covid. Au niveau national, l’administration cherche l’équilibre entre durcissement sanitaire et « détention normale ».
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine ayant conduit à l’assassinat infâme du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty, vendredi 16 octobre, la diaspora tchétchène de France se sent montrée du doigt. Elle est pourtant, comme le reste de la France, sous le choc.
Tariq Ramadan a été mis en examen le 22 octobre pour des viols remontant à 2013-2014 dénoncés par Mounia Rabbouj en mars 2018. Il s’agit de la cinquième mise en examen pour viol de l’islamologue suisse, dans cette affaire déclenchée en octobre 2017.
Sécurité sociale, inégalités raciales, économie, immigration, environnement ont été abordés. Douze jours avant le vote, le président a aussi dépeint son adversaire en politicien de carrière, tandis que le candidat démocrate a dénoncé un président incompétent et corrompu.