Aujourd'hui, notre chroniqueur Didier Porte est regonflé à bloc grâce au meeting organisé ce lundi 25 avril par Stéphane Le Foll et une vingtaine de ministres, “Hé oh la gauche !”, qui doit permettre « aux militants de gauche de relever la tête ».
Comment placer sur écoute un adversaire politique sans laisser de traces ? Lorsqu’on y a des amis sûrs, la DGSE offre des garanties de discrétion remarquables. Ce qui rend bien peu probable que l'enquête ouverte sur la mise sous surveillance de Thierry Solère aboutisse.
Cette semaine, Didier Porte examine de très près comment les médias se sont emparés du mouvement « En Marche ! » créé par le ministre Emmanuel Macron. Conclusion : « Il m'énerve, ah, il m'énerve trop. »
Il y a décidément un mystère Manuel Valls. S’il voulait s’autodétruire en abolissant son camp, il n’agirait pas autrement. Plus il croit « trianguler », plus il parvient à s’asphyxier. Après s’être passé la corde au cou devant le Medef, sans succès politique, voilà qu’il se lance dans le sillage de Nicolas Sarkozy sur la question identitaire.
Nouvelle édition du journal de 20h que vous ne verrez jamais à la télévision. Au sommaire : les mobilisations contre la loi sur le travail – notre experte Candice s’adresse à la jeunesse « alors comme ça on manifeste ? » –, la réforme pénale, les violences d'État à Calais et un soleil radieux sur la filière nucléaire.
Cette semaine, Didier Porte évoque les débats suscités par les propos de la ministre Laurence Rossignol sur les femmes voilées et de la philosophe Élisabeth Badinter sur la « mode islamique ».
Dans son premier roman, Zia Haider Rahman, écrivain anglais d’origine bangladaise, multiplie les ponts entre différents mondes pour en tracer la cartographie nouvelle.
En 1964, Francis Blanche concocte pour la télévision française un poisson d'avril aux arêtes acérées. L'humoriste dynamite les bulletins d'information de l'époque, histoire que les écailles nous tombent des yeux…
« Comme des lions », de Françoise Davisse, retrace la lutte des ouvriers de PSA-Aulnay contre la fermeture de leur usine. À voir au cinéma alors que l'on vient d'apprendre que le PDG du groupe, Carlos Tavares, a doublé son salaire l'an passé.