Au tribunal de Pontoise démarrait lundi le procès de Pascale B., professeure de français accusée d’avoir harcelé trois de ses élèves. Parmi eux, Evaëlle, 11 ans. Aussi visée par des agressions de ses camarades, elle a mis fin à ses jours à la fin de l’année scolaire, en juin 2019.
L’entreprise chinoise a créé la surprise en annonçant deux modèles d’intelligence artificielle dix fois moins consommateurs en électricité que leurs équivalents de mêmes performances. Ce n’est pourtant pas forcément une bonne nouvelle : un outil plus économe risque simplement d’être davantage utilisé.
Vendredi 7 mars, la cour criminelle du Morbihan a clos l’examen des onze années que le chirurgien pédocriminel a passées dans cet établissement d’Indre-et-Loire, au début de sa carrière. Ses anciens collègues ont affirmé n’avoir rien soupçonné, ni repéré « aucun signal ».
Au procès des geôliers de l’État islamique, l’accusé Abdelmalek Tanem a reconnu avoir combattu, mais il a nié avoir participé à la séquestration des otages. Le président de la cour d’assises l’a mis face à ses contradictions.
Le procès des financements libyens est entré dans une nouvelle phase. Le tribunal se penche désormais sur les soupçons de corruption de Claude Guéant par l’intermédiaire Alexandre Djouhri. Deux hommes que tout oppose. En théorie…
Les auditions des parties civiles ont débuté, jeudi 6 mars, au procès de l’ancien chirurgien, qui a avoué trois viols qu’il contestait jusque-là. Quatre femmes, mineures au moment des faits, avec des souvenirs ou non, ont exposé leurs traumatismes.
Au procès des geôliers de l’État islamique, Peter Cherif et Tyler Vilus ont été entendus comme simples témoins. Qu’ils ne desserrent pas les dents ou parlent pour ne rien dire, les terroristes renvoient toujours la même violence.
Après le virement de 500 000 euros, la montre Patek Philippe à 11 300 euros offerte par Alexandre Djouhri, Claude Guéant, ancien secrétaire général de l’Élysée, s’est ensablé une nouvelle fois au procès des financements libyens. Et son « ami » intermédiaire aussi.
Alexandre Djouhri a nié ses démarches pour effacer l’ardoise fiscale du Libyen Bachir Saleh. Mais l’utilisation des comptes des richissimes cousins saoudiens pour blanchir l’argent de l’intermédiaire a été démontrée lors de l’audition d’un ancien banquier suisse.
Des membres de la famille de Salim Benghalem sont venus raconter leur honte, leurs aveuglements et leur douleur face aux agissements de leur enfant, de leur frère. Des témoignages d’une force rare qui ont suscité la compassion des victimes du tortionnaire.