Dans cette palinodie macabre qui se prépare en Algérie, avec l'élection du mort-vivant Abdelaziz Bouteflika lors de la présidentielle d'avril prochain, le parti du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) ne présentera pas de candidat et ne participera pas à l'élection.
Dans son 27e roman, Jusqu’à ce que les pierres deviennent plus douces que l’eau (Christian Bourgois), l’écrivain portugais António Lobo Antunes, bientôt dans la Pléiade, montre toute la virtuosité de son écriture polyphonique. Il s’inspire de la guerre coloniale pour ciseler une tragédie familiale, analyse Le Temps de Genève.
L'APS (Algérie presse service), annonce la mort, dimanche 27 janvier, à l'âge de 89 ans, de Paul Balta, d'un vétéran du Monde, qui couvrit le Maghreb et le Proche-Orient de 1970 à 1985 pour le quotidien du soir.
La reporter de guerre américaine avait péri dans le bombardement par les forces armées syriennes d’un centre de presse clandestin d’un quartier rebelle de Homs, le 22 février 2012. Elle couvrait ce que le monde appelait alors la révolution syrienne, pour le journal britannique Sunday Times. Elle mourut dans une maison du quartier réfractaire de Baba Amr, où elle se trouvait avec le photojournaliste français Rémi Ochlik, 28 ans, de l’agence IP3 Press, qui a été tué dans la même attaque. Caroline Hayek, de L'Orient-Le Jour (Beyrouth), relate l'écho judiciaire de ce drame.
La disparition de la reine du Canada, Élisabeth II, pourrait avoir de graves répercussions sur la vie politique québécoise. Parmi elles, la dissolution de l’Assemblée nationale et la tenue d’élections générales anticipées. Le Devoir de Montréal lance le débat historique et constitutionnel avec trois universitaires : Patrick Taillon, Maxime Saint Hilaire et Julien Fournier.
« Brillant », « positif », « requinqué », « séduisant »… Le journaliste de Télérama Samuel Gontier rend compte, avec son acidité sémiotique habituelle, d'un plateau réunissant, jeudi 31 janvier au soir, les éditorialistes de BFMTV, qui n’en finissaient pas de nous rassurer sur l’état de santé d’Emmanuel Macron, qui s’est dit « scarifié » lors d’un prétendu débat impromptu avec des journalistes, invités à l'écouter pérorer à l’Élysée…
Comment interpréter l’accélération de la crise vénézuélienne ? Le Temps de Genève a recueilli deux points de vue contrastés : celui de Guillaume Long, ancien ministre des affaires étrangères de l’Équateur, qui soutenait alors le Venezuela de Nicolás Maduro, aujourd’hui chercheur à l’Institut de relations internationales et stratégiques de Paris ; et de Maria Alejandra Aristeguieta Alvarez, représentante de la plateforme de l’opposition vénézuélienne en Suisse.
Le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger, qui prône un pouvoir moins vertical et une politique plus sociale, pointe la « responsabilité » d’Emmanuel Macron dans la crise des gilets jaunes.
Jean Wyllys, représentant de Rio de Janeiro et figure de la lutte pour les droits des minorités sexuelles, renonce à son mandat et à son pays, craignant pour sa vie.