Notes de veille

DSK est placé en détention

Note de veille

Le patron du FMI a été entendu par un juge ce lundi après-midi. Le tribunal a refusé sa demande de libération conditionnelle assortie d'une caution d'un million de dollars. DSK restera en détention jusqu'au 20 mai au moins. La police a procédé à des prélèvements d'ADN alors que la femme de chambre l'a formellement identifié. Ses avocats annoncent une longue bataille.

DSK: le jour où tout a basculé

Note de veille

Le patron du FMI et candidat putatif à la primaire socialiste en France est sorti du commissariat à 5 heures du matin, menotté, sans précision sur sa destination. La police a procédé à des prélèvements d'ADN. Ses avocats ont annoncé qu'il plaiderait non coupable et qu'il nierait les faits.

Fiscalité: la réforme en trompe-l'œil

Note de veille

Le conseil des ministres a enterré sans éclat le bouclier fiscal mercredi matin. Pour compenser cette disparition, il prévoit une vaste réforme de l'ISF. Celle-ci profitera surtout aux grandes fortunes.

Portugal : accord sur l’aide financière annoncé à la mi-temps du match Barça/Real

Note de veille

Cela en dit plus qu'une longue analyse sur la situation du Portugal et le niveau de sa classe politique: le premier ministre socialiste démissionnaire José Socrates a annoncé l'accord avec la «troïka» FMI/UE/BCE sur l'aide financière extérieure à la mi-temps d'un match de football.

Foot et politique : quinze années d'instrumentalisation et de dérapages

Note de veille

La parenthèse de la France «black-blanc-beur» de 1998 semble bel et bien refermée. Dès 1996 avec Jean-Marie Le Pen, et jusqu'en 2010 avec Roselyne Bachelot, la composition des Bleus a subi un détournement politique plus que limite.

Laurent Blanc, François Blaquart, Erick Mombaerts, biographies

Note de veille

Laurent Blanc: Cet ancien très grand joueur, champion du monde en 1998, champion d'Europe en 2000, est devenu sélectionneur de l'équipe de France après la coupe du monde 2010 en Afrique du Sud. Il a succédé à ce poste à Raymond Domenech. Très vite, dans différentes interviews, il prend position sur des questions d'identité et d'immigration. Lors d'un tchat sur LePoint.fr, à la question de savoir ce qu'il pense de l'expulsion des Roms, il répond: «Les Français assument le fait que leur pays soit une terre d'asile, une terre d' accueil, mais la société change, notre histoire change. Mais les Roms ne sont qu'un élément déclencheur qui a fait resurgir des problèmes liés à l'immigration en France. En France, il y a un gros problème d'identification. Peut-être plus qu'ailleurs en Europe. Quand on choisit la nationalité française, il faut en être digne et fier.

Au Yémen, le départ annoncé du président ne convainc pas

Note de veille

Les manifestations se poursuivent au Yémen, malgré la promesse du président Ali Abdallah Saleh de partir d'ici trente jours. Pour comprendre les évolutions et les événements du monde arabe, Mediapart a installé récemment deux chroniques hebdomadaires: «A l'affût des révolutions», de Nadia Aissaoui et Ziad Majed. Et «Vu des médias arabes» de Tewfik Hakem. Retrouvez-les page suivante.

Un mois de guerre en Libye: retrouvez tous nos articles

Note de veille

Alors qu'à Misrata, principale ville de l'Ouest aux mains des insurgés, des soldats pro-Kadhafi ont reçu l'ordre de se retirer, le dirigeant libyen reste accroché au pouvoir. Pour faire le point sur les enjeux de ce conflit, nous avons regroupé ici nos reportages, analyses, interviews...

Des «conseillers» occidentaux sur le sol libyen

Note de veille

Londres, Paris et Rome dépêchent des officiers de liaison auprès des rebelles libyens. Si la coalition entend respecter la résolution 1973 du Conseil de sécurité de l'ONU qui interdit l'envoi de troupes au sol, nombre d'observateurs redoutent un enlisement du conflit, pointant du doigt les risques d'un «nouveau Viêtnam».

Le Conseil national du numérique, «courroie de transmission» du Net

Note de veille

Dans une semaine, on connaîtra la composition du Conseil national du numérique, mais le secret est déjà éventé: ce sera le lobby officiel de l'industrie des télécommunications et du commerce électronique qui sera chargé d'orienter les politiques numériques du pays. Très loin de la promesse de Nicolas Sarkozy d'«associer largement la nation aux choix publics» en matière d'Internet.