Le gouvernement conservateur de Boris Johnson se trouve au cœur d’un procès en népotisme pour avoir sous-traité une partie de la gestion de la crise sanitaire à des entreprises dirigées par des donateurs du parti ou à des proches.
Plusieurs journaux européens et américains se sont fait l’écho des risques pour la liberté de la presse du projet de loi sécurité globale, et s’inquiètent plus largement du virage droitier et autoritaire pris par le président français.
La décision des instances du parti travailliste de réintégrer Jeremy Corbyn, suspendu le mois dernier pour avoir minimisé l’existence d’antisémitisme au sein de la formation, porte un coup à l’autorité du nouveau patron, Keir Starmer.
Alors qu’une série de mesures est venue restreindre l’accès aux soins des personnes étrangères en début d’année, un nouveau décret publié au Journal officiel le 1er novembre risque d’aggraver la situation, malgré la deuxième vague de la pandémie de Covid-19.
Contrairement à Donald Trump, le président élu Joe Biden place la lutte contre le Covid-19 au premier rang de ses priorités. Il a nommé lundi un conseil de transition sur cette question pour l’aider à établir un plan d’action, alors que le pays a enregistré un million de cas et près de 240 000 décès.
Alors que Joe Biden, victorieux, et sa vice-présidente, Kamala Harris, se sont présentés samedi soir comme les guérisseurs de l’Amérique, Donald Trump s’accroche à la Maison Blanche et promet une salve de recours, entre deux parties de golf. « Les médias ne décident pas d’une élection, les tribunaux le font », a lancé l'avocat du président sortant, Rudy Giuliani.
La bronca des petits commerces contre les fermetures du reconfinement met en lumière la place privilégiée des hypers et supermarchés. La moitié des communes rurales n’a plus de commerce de proximité.
Depuis l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, la justice a lancé 237 procédures pour apologie, menaces ou injures. Une quinzaine d’entre elles concernent des adolescents et des enfants, dont des écoliers, notamment pour des propos tenus cette semaine lors de l’hommage à Samuel Paty.
Ce fut, lundi 2 novembre, une rentrée particulière. Dans toutes les écoles de France, un hommage a été rendu à Samuel Paty, le professeur d’histoire-géographie assassiné à Conflans-Sainte-Honorine le 16 octobre. Les revirements autour du déroulement de cette célébration ont été mal compris par une communauté éducative qui doit également faire face à la pandémie de Covid.
La fermeture des librairies n’en finit pas d’être critiquée, jusque dans les rangs de la majorité. La décision prise vendredi de fermer les rayons culturels des grands magasins n’a pas suffi à satisfaire les libraires indépendants.