Le président américain n’a cessé de minimiser l’étendue de la pandémie de coronavirus et réfuté les critiques sur sa gestion catastrophique de la crise sanitaire. Vendredi, il a annoncé avoir été testé positif avant d’être admis à l’hôpital « pour quelques jours ». Un nouveau rebondissement dans la campagne électorale, alors qu’il lutte pour sa réélection.
De LFI à LREM, les responsables de parti ont exprimé leur soutien aux victimes de l’attaque perpétrée vendredi 25 septembre, à Paris. L’extrême droite, suivie de près par la droite LR, s’est immédiatement engouffrée dans le sujet pour essayer d’en bénéficier politiquement.
Malgré des propositions plus audacieuses, le congé paternité devrait passer de deux à quatre semaines au 1er juillet 2021. L’exécutif se dit partisan d’une nouveauté : sept jours obligatoires.
Le président américain pense avoir trouvé l’arme fatale contre son rival démocrate Joe Biden : un vaccin anti-SARS-CoV-2 avant le 3 novembre, jour de l’élection. Quitte à vouloir accélérer les procédures et faire pression sur l’administration.
Dans un rapport dévoilé mardi, cinq associations d’aide aux étrangers dénoncent les effets de la loi « asile et immigration » adoptée en 2018, levier de la politique d'expulsion du gouvernement. Les éloignements ont augmenté de 9% l'an dernier.
Depuis la rentrée, des incohérences sont pointées çà et là par les enseignants et les syndicats. Les procédures en cas de suspicion ou de contamination avérée au Covid ne sont pas toujours limpides. Les personnels ne se sentent pas assez protégés ni en sécurité.
Serpent de mer du quinquennat, l’allongement du congé paternité – ou second parent – devrait être proposé d’ici à la fin du mois. Le gouvernement a plusieurs options.
Craignant d’être arrêtés par les autorités, deux correspondants australiens ont dû quitter la Chine. Un nouveau signe des tensions croissantes entre Canberra et Pékin et de la quasi-impossibilité de travailler en Chine pour les journalistes étrangers.
À la veille d’une nouvelle session de négociation entre Londres et Bruxelles, Boris Johnson fait monter la pression. Il envisage l’échec d’un accord, ce qui le délierait alors de ses obligations envers ses anciens partenaires. Ceux-ci s’en formalisent.
À partir de lundi, le fondateur de WikiLeaks comparaît devant la Cour criminelle centrale de Londres qui doit décider de son extradition vers les États-Unis où il risque 175 années de prison pour espionnage. Les audiences doivent durer entre trois et quatre semaines.