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  • L’affaire Benalla est bien une affaire Macron

    France — Parti pris

    Il n’y a pas d’Alexandre Benalla à l’Élysée sans Emmanuel Macron, auquel le premier doit tout. Mais il n’y a pas non plus d’affaire Benalla sans le soutien apporté par le président de la République à son homme de confiance. C’est cette couverture, jusqu’au mensonge, qui en fait une affaire d’État.

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  • Motions de censure: le «nouveau monde» obtient une victoire à la Pyrrhus

    France — Reportage

    Comme prévu, les deux motions de censure soutenues par Les Républicains d'un côté et par les groupes de la gauche de l'autre ont été rejetées à l'Assemblée nationale. Cette journée, dense et tendue, était le dernier avatar d'une crise politique du pouvoir qui laissera des traces.

  • 1er mai: La République en marche annonce finalement le licenciement de Vincent Crase

    France

    Grâce à une vidéo inédite, Mediapart révèle à nouveau le rôle joué par Vincent Crase, vu au côté d'Alexandre Benalla le 1er mai 2018 en train d’interpeller un homme. Mis en examen pour « violences en réunion » et « immixtion dans l'exercice d'une fonction publique », ce salarié de LREM va être licencié, a annoncé mardi Christophe Castaner.

  • 1er mai: deux nouvelles vidéos montrent l'implication de Benalla et Crase dans une autre interpellation

    France — Enquête

    Alexandre Benalla a bien procédé à des interpellations lors de la manifestation du 1er mai, contrairement à ce qu’il déclare. Deux nouvelles vidéos que diffuse Mediapart révèlent comment, avec Vincent Crase, employé de LREM,  il participe au maintien de l’ordre de façon musclée. 

  • Affaire Benalla: Emmanuel Machiavel contre Jean-Luc Robespierre

    France — Analyse

    Un échange entre Édouard Philippe et Jean-Luc Mélenchon sur la vertu en politique, le 24 juillet à l'Assemblée, offre peut-être l'une des meilleures clés de compréhension de l'affaire Benalla. En oubliant l'éthique, “Jupiter” se trouve liquidé. Ne reste plus que le prince, machiavélien, qui légitime son autorité par la démonstration de son exercice.

  • Deux nouvelles plaintes ciblent Benalla pour le 1er mai

    France

    Alexandre Benalla a pris part aux opérations de maintien de l’ordre de la journée du 1er mai, avant les événements survenus sur la place de la Contrescarpe, selon une vidéo publiée vendredi 27 juillet par Libération. Le rapport d’enquête de l’IGPN, rendu public au même moment, cherche encore une fois à circonscrire l’affaire à de simples dysfonctionnements internes à la préfecture de police.

  • Affaire Benalla: la folle semaine de la majorité à l’Assemblée

    France

    L’affaire Benalla a bousculé La République en marche au Palais-Bourbon. S'ils disent avoir encaissé les coups et mûri politiquement durant cette séquence éprouvante, les députés ont finalement décidé de protéger coûte que coûte Emmanuel Macron. Mardi 31 juillet seront discutées deux motions de censure, l’une déposée par le groupe LR, l’autre par les groupes FI, GDR et Nouvelle Gauche.

  • Affaire Benalla: le jeu trouble de l’Elysée avec les images volées de la préfecture

    France

    Selon les documents obtenus par Mediapart, plusieurs comptes Twitter soutiens de LREM ont diffusé, jeudi 19 juillet, les images de la vidéosurveillance de la place de la Contrescarpe, avant de les effacer. Alexandre Benalla a reconnu les avoir transmises à l’Élysée peu après les révélations du Monde. Vendredi 27 juillet, le parquet a élargi l'enquête à d'éventuels faits de « recel de détournements d'images issues d'un système de vidéoprotection ».

  • En infraction avec la «loi transparence», l’Elysée régularise ses chargés de mission

    France — Analyse

    L’affaire Benalla a braqué les projecteurs sur les « chargés de mission » officieux de l’Élysée, qui ne remplissent ni déclaration de patrimoine, ni déclaration d’intérêts. La loi sur la transparence, pourtant, les y oblige. Jeudi 26 juillet, le secrétaire général du palais a annoncé que leur situation serait « régularisée ».

  • Macron-Benalla: l’enquête s’oriente sur les facilités de «l’homme du président»

    France

    Les auditions devant le Sénat et l’Assemblée des hauts fonctionnaires de police et de gendarmerie ont montré l’ampleur des dérogations accordées par l’Élysée à son chargé de mission Alexandre Benalla. Et comment l’Élysée avait obtenu pour lui auprès du préfet de police le permis de port d’arme que le ministère de l’intérieur lui avait refusé. Derrière l'affaire, les questions s'accumulent sur la création d'une nouvelle direction de la sécurité du président.