C'est à Berne, en Suisse que fut ouverte, en 1986, la première salle de consommation de drogue. Il y en aurait aujourd'hui près de 90 dans le monde. En France, un centre pour toxicomanes devait ouvrir en novembre à Paris. Mais le Conseil d’Etat a rendu, le 10 octobre 2013, un avis négatif. Ce reportage dans la salle de Berne a été réalisé en 2010 avec le consentement des usagers.
Depuis 1997, Patrick Artinian s'est rendu une dizaine de fois à Lawrence, dans le Kansas, ville de quelque 80 000 habitants au centre des Etats-Unis. Accompagnant les journalistes de la presse locale, il a photographié la vie quotidienne des Américains.
Lire dans Mediapart, la série A quoi rêve le Kansas, réalisée en 2008.
Peintre, puis photographe humaniste de la génération de Brassaï, Doisneau, Ronis, Émile Savitry (1903-1967) évolua dans le quartier de Montparnasse des années 1930 à 1950 au milieu des artistes et intellectuels de son temps. Une large rétrospective lui est consacrée, du 25 octobre au 27 janvier, à la Maison de la photographie Robert Doisneau de Gentilly.
Des cours de français pour Algériens, des jeux d'enfant dans la boue des bidonvilles, la pause au café... C'est ce que racontent les photos prises par Pierre Boulat en 1955. Un témoignage unique qui montre, bien avant les années noires de la guerre d'Algérie, la ségrégation imposée par l'Etat français à ces "Français musulmans d'Algérie", selon les termes administratifs de l'époque. Né en 1924 et mort en 1998, Pierre Boulat a consacré sa vie à la photo, devenant après-guerre un des plus grands photoreporters publié par Life, Paris-Match, le Time, National Geographic... Certaines de ces photos sont exposées jusqu'au 19 mai à la Cité de l'immigration, dans le cadre de Vies d'Exil, 1954-1962, des Algériens en France pendant la guerre d'Algérie. A voir aussi, sur Mediapart, l'entretien vidéo avec Monique Hervo: la guerre d'Algérie vue d'un bidonville de Nanterre.
Le Texas est présenté par la droite américaine comme l'État américain qui, par sa politique ultra conservatrice, doit donner l'exemple au gouvernement fédéral. Notamment parce qu'ici les particuliers ne connaissent pas l'impôt sur le revenu perçu par l'Etat. Thomas Haley s'est rendu sur place. Carnet d'un reportage de 3000 kilomètres, en forme d'album photos aux légendes instructives.
Lire ici le billet de blog de Thomas Haley racontant la fascination des Américains pour le Texas et là, notre dossier Présidentielle américaine 2012, où sont rassemblés tous nos reportages, entretiens, analyses, portfolio....
Le 13 octobre une nouvelle manifestation des Indignés contre le plan d'austérité est prévue en Espagne. Sylvain Cherkaoui, 34 ans, photoreporter longtemps installé en Espagne, a suivi les derniers rassemblements, violemment réprimés, de la fin septembre.Lire aussi dans le Club de Médiapart, son récit de ces journées.Dans le Journal, le reportage de notre envoyé spécial : Madrid : les «indignés» à l'assaut du Congrès, violents affrontements. Et notre dossier sur le mouvement des Indignés.
Lundi 17 septembre, plus d'un millier d'activistes d'Occupy Wall Street ont manifesté à New York pour fêter le premier anniversaire de leur mouvement. Un défilé qui s'est achevé par 150 interpellations. Un reportage du photographe Thomas Haley. Lire également l'article de notre correspondante à New York, Iris Deroeux : « Occupy Wall Street » : l'esprit des luttes est toujours là.Voir un précédent reportage photo de Thomas Haley en cliquant ici.
Un an après son émergence, le mouvement Occupy Wall Street s'invente de nouvelles luttes : locales, par entreprise ou par quartier, sur des thèmes nouveaux. Marginal dans le débat public et politique américain, il n'est guère influent mais continue à mobiliser une jeunesse, des communautés ou des minorités qui ne se retrouvent pas dans la gauche démocrate américaine. En cette fin septembre 2012, plusieurs manifestations se tiennent à New York. Le photographe Thomas Haley est allé à la rencontre des activistes.Lire également l'enquête d'Iris Deroeux : «Occupy Wall Street» : l'esprit des luttes est toujours là
Depuis des années, George Steinmetz photographie les déserts, pour le National Geographic Magazine, à bord d’un parapente motorisé expérimental, qui lui permet de dresser un portrait unique de régions souvent inaccessibles par d’autres moyens de transports. [asset|aid=170356|format=100_pixels|formatter=imagecache|title=|align=left|href=]À Visa pour l'image, une projection avec présentation du livre est organisée ce samedi soir. Lire aussi ici, le billet dans le Club de Mediapart.Déserts absolus de George Steinmetz sera en librairie à partir du 4 octobre (éd. La Martinière, 352 pages, 26,5 × 34 cm, 45 euros).