Le parquet de Paris demande le renvoi devant la cour criminelle de deux policiers ayant blessé des « gilets jaunes » le 26 janvier 2019, place de la Bastille, dont celui qui a atteint Jérôme Rodrigues à l’œil droit avec une grenade de désencerclement.
La Cour pénale internationale est saisie du cas de citoyens russes ayant participé à des déportations d’enfants ukrainiens. Le dossier retrace méthodiquement comment Moscou a fait passer de possibles crimes contre l’humanité pour des « missions humanitaires ».
La direction de La France insoumise continue de dénoncer une « opération politico-judiciaire » ciblant les proches de Jean-Luc Mélenchon. Certains élus du parti se contentent de relayer la ligne officielle, quand d’autres se murent dans le silence afin d’éviter les problèmes.
Depuis l’annonce de la reprise de l’entreprise par ses salariés le 26 juillet, la verrerie est sur un petit nuage et les ventes en ligne ont explosé pendant l’été. Mais cela ne sera pas suffisant pour sauver l’entreprise, où tout reste à faire pour rebâtir une stratégie.
Les sociaux-démocrates arrivent en tête de l’élection régionale du Brandebourg, à l’est de l’Allemagne, considérée comme un test pour la coalition gouvernementale au pouvoir. Mais ils sont talonnés par l’AfD, le parti d’extrême droite. Les Verts décrochent et l’Alliance Sahra Wagenknecht confirme sa percée.
La droite a adopté jeudi au Parlement européen une résolution sur le Venezuela coécrite avec des groupes d’extrême droite, mettant en minorité gauches et libéraux. Une première pour le mandat qui s’ouvre, révélatrice de l’effritement du « cordon sanitaire ».
Pressé par les oppositions, le nouveau premier ministre refuse de communiquer les documents préparatoires au budget 2025 et jure découvrir « une situation très grave ». Mediapart révèle deux des courriers que Matignon refuse de communiquer.
En déniant aux dirigeants de la commission des finances de l’Assemblée le droit d’examiner les « lettres plafonds » préparant les choix budgétaires de 2025, le pouvoir franchit une sérieuse ligne rouge et abîme un pilier des démocraties parlementaires.
En un peu plus de deux mois, le candidat républicain a été victime de deux tentatives d’assassinat. Une violence politique qui fait écho à l’histoire d’un pays hanté par la guerre civile. Mais s’explique aussi par le travail de sape contre la démocratie états-unienne par l’ancien président, qui n’a jamais accepté sa défaite en 2020.
Défaite aux élections législatives, la droite traditionnelle sort étonnamment gagnante de la crise politique. Après avoir juré qu’ils ne scelleraient pas de coalition, les cadres du parti se battent pour être nommés par Michel Barnier. Tout en sachant que la mission politique s’annonce ardue, sinon impossible.