Comme d’habitude, tous les grands de ce monde y étaient. Pourtant, le 54e Forum économique mondial a renvoyé l’image d’un monde qui tourne à vide. Davos n’est plus la « Montagne magique », et ressemble de plus en plus à un sanatorium coupé de tout.
Sous-payés, contraints de passer par des évaluations qui les sanctionnent, parfois obligés de quitter le territoire, les praticiens d’origine étrangère ont protesté jeudi 18 janvier devant le ministère de la santé. Mediapart détaille leurs situations inextricables.
Anticor, Sherpa et Transparency France pressent le pouvoir de revenir sur son refus de délivrer son agrément à Anticor, et lui demandent de cesser d’entraver leur action.
La ministre de l’éducation, Amélie Oudéa-Castéra, a visité l’école Littré mardi 16 janvier, alimentant une séquence à haut risque pour le gouvernement. Les raisons de son choix controversé de la très catholique école Stanislas pour ses enfants sont battues en brèche une à une par les acteurs de l’époque.
Encore sonnée par l’épisode la loi immigration, une partie des députés macronistes encaisse mal la composition du nouveau gouvernement. Une contre-offensive se prépare à l’Assemblée nationale, où certains n’ont jamais été aussi près de claquer la porte du groupe présidentiel.
Des dizaines de manifestations ont eu lieu en France ce dimanche à l’initiative de 400 collectifs. À Paris, des milliers de personnes ont dénoncé un texte « xénophobe » et « dangereux ».
En 2017, Emmanuel Macron avait promis qu’un ministre mis en examen devrait démissionner du gouvernement. Désormais, une personne mise en examen pour « corruption » et « trafic d’influence », comme Rachida Dati, entre au gouvernement. Revue de détail du remaniement au prisme des affaires.
Le premier jour d’audience a levé le voile sur le parcours des accusés, policiers sans histoire devenus les protagonistes d’une affaire criminelle. Avant d’en venir aux faits, la cour d’assises de Seine-Saint-Denis a pris le temps d’un portrait de groupe.
Le président de la République a nommé son ministre de l’éducation pour succéder à Élisabeth Borne. À 34 ans, l’ancien militant socialiste devient le plus jeune premier ministre de la Ve République. Faute d’inflexion sur la ligne ou sur la méthode, sa feuille de route paraît tout aussi impossible que celle de sa prédécesseuse.
Y a-t-il encore des choses à écrire sur le principal parti d’extrême droite en France ? Un ouvrage collectif, « Sociologie politique du Rassemblement national », prouve que oui, en examinant « par le bas » ses logiques d’attraction, de recrutement et d’organisation.