Après avoir imposé au pays une réforme des retraites honnie et des lois impopulaires, le président de la République prétend que l’heure n’est pas à la redistribution. Une position qui révèle le cynisme du chef de l’État en matière économique.
Alors que le pouvoir égyptien communique sur l’accueil de 31 nourrissons prématurés venus de l’hôpital Al-Shifa, reportage dans la capitale auprès des rares blessés évacués de Gaza vers l’Égypte depuis le début du mois de novembre.
L’armée israélienne utilise dans la bande de Gaza une stratégie de guerre totale qui ne distingue pas les cibles civiles des cibles militaires et ignore délibérément le principe de proportionnalité de la force, fondements du droit de la guerre. En application d’une doctrine inventée il y a quinze ans par un actuel ministre de Nétanyahou.
La présidente de la région Île-de-France doit attribuer vendredi 17 novembre une généreuse subvention à l’association dirigée par Didier Lemaire. L’ancien professeur de philosophie de Trappes, qui fut au cœur d’une polémique en 2021, est devenu entre-temps… cadre de l’administration régionale.
Sévère en paroles, le procureur général Rémy Heitz n’a cependant réclamé qu’une peine d’un an de prison avec sursis contre Éric Dupond-Moretti, ce mercredi à la Cour de justice de la République.
La taxe prélevée sur les concessionnaires d’autoroutes ne devait rien coûter aux usagers, selon le ministère des finances. Mais les sociétés autoroutières sont décidées à la répercuter intégralement sur les péages. Elles ont une arme fatale : les contrats signés en 2015 par Emmanuel Macron et Élisabeth Borne.
L’armée israélienne, qui poursuit son avancée dans la bande de Gaza, a annoncé être entrée dans le camp de réfugiés d’Al-Shati. Toute la ville de Gaza a été la cible ces deux derniers jours de frappes aériennes qui ont poussé des milliers de familles à se déplacer vers le sud. Témoignages.
Après l’affaire des étoiles de David tagués en région parisienne, trois experts décryptent pour Mediapart ce qui est un moyen très classique de propagande russe depuis près d’un siècle : attiser l’antisémitisme au sein de la population d’un pays ciblé.
La présence annoncée de l’extrême droite au rassemblement contre l’antisémitisme, organisé dimanche à l’initiative des présidents des deux chambres du Parlement, embarrasse à droite et divise à gauche. Le résultat de plusieurs années de confusionnisme politique, alimenté par Emmanuel Macron et ses soutiens.
Tout en soutenant le droit d’Israël à se défendre, le président de la République tente de montrer qu’il n’oublie pas les populations civiles de Gaza. Un devoir moral de la France, explique-t-on à l’Élysée, qui n’est pas dénué de considérations de politique intérieure.