Joe Biden et d’autres dirigeants occidentaux se sont rendus en Israël après les attaques terroristes du Hamas. Si leur soutien est accompagné d’une mise en garde sur le respect du droit international, ils sont critiqués par le reste du monde pour le « deux poids, deux mesures » appliqué à leur politique au Moyen-Orient, notamment comparée à la stratégie ukrainienne.
Les murs de la prison de Burj, près de Raqqa en Syrie, se souviennent de ceux qui y sont passés, inscrivant leurs pensées, leurs rêves ou leurs prières sur les parois. Un cauchemar dont témoignent d’anciens prisonniers, et les images du photographe Muaz al-Nasser recueillies par Mediapart.
Une nouvelle enquête du Parquet national financier se penche sur l’organisation de la cérémonie d’ouverture. Des perquisitions ont eu lieu mercredi. En décembre 2022, Mediapart avait mis en lumière la situation de conflit d’intérêts de Thierry Reboul, directeur exécutif des cérémonies.
Après l’attaque du Hamas le long de la bande de Gaza, la menace d’un nouveau front contre le Hezbollah plane sur les villages situés à la frontière. La région, une zone d’exclusion militaire, a procédé à l’évacuation de la plupart de ses habitants.
À l’issue de la garde à vue de l’auteur des faits, le procureur antiterroriste a détaillé les nombreux éléments qui démontrent à son sens l’adhésion à l’État islamique de Mohammed Mogouchkov, l’assassin du professeur de français Dominique Bernard.
Sous pression de la droite et de l’extrême droite, le camp présidentiel veut montrer qu’il n’a pas « la main qui tremble » en matière de sécurité. Depuis le drame d’Arras, l’Élysée et le gouvernement rivalisent de formules et de déclarations pour convaincre de leur fermeté. Au risque de se laisser aller à certaines dérives, voire d’enfreindre le droit international.
Alors que l’armée israélienne a confirmé samedi la présence d’au moins 120 otages retenus par le Hamas à Gaza, un père a décidé d’aller chercher sa fille, enlevée alors qu’elle participait à la rave party à Re’im. Pour cela, il se dit prêt à entrer dans Gaza.
Dans l’affaire du « 8 décembre », actuellement jugée à Paris, la DGSI a fait des recherches sur la « legal team » à laquelle participent, les jours de manifestation, certains des avocats choisis par les prévenus. Le parquet y voit un élément à charge, les avocats une atteinte aux droits de la défense.
Le ministère de l’intérieur a un an pour faire respecter l’obligation pour les forces de l’ordre de porter leur numéro d’immatriculation. Dans une seconde décision, la juridiction a refusé d’ordonner à l’État de mettre un terme aux contrôles au faciès.
Alors que plusieurs journaux affirment que Téhéran a participé à l’organisation de l’offensive du Hamas contre Israël, le régime se défend de toute intervention, tout en soutenant la lutte des Palestiniens. Un positionnement équivoque dont la République islamique espère tirer profit.