Le PNF a décidé de demander un nouveau procès à l’endroit de l’ancien ministre du travail, qui avait été relaxé, le 17 janvier dernier, par le tribunal judiciaire de Paris, dans une affaire de favoritisme sur un marché public au profit d’un géant français de l’eau, la Saur.
La mort d’une agricultrice et de sa fille mardi, à la suite d’un accident survenu sur un barrage en Ariège, provoque la tristesse dans le monde paysan. Sans affaiblir la mobilisation. À l’Assemblée, le deuil a très vite laissé place à la querelle.
Financé par le groupe de luxe, l’« institut » destiné aux adultes éloignés de l'emploi présidé par l’épouse du président de la République, ouvre dans plusieurs nouvelles villes. Le niveau de connivence entre la « première dame » et la plus grosse entreprise du CAC 40 devient préoccupant.
Comme d’habitude, tous les grands de ce monde y étaient. Pourtant, le 54e Forum économique mondial a renvoyé l’image d’un monde qui tourne à vide. Davos n’est plus la « Montagne magique », et ressemble de plus en plus à un sanatorium coupé de tout.
Sous-payés, contraints de passer par des évaluations qui les sanctionnent, parfois obligés de quitter le territoire, les praticiens d’origine étrangère ont protesté jeudi 18 janvier devant le ministère de la santé. Mediapart détaille leurs situations inextricables.
Anticor, Sherpa et Transparency France pressent le pouvoir de revenir sur son refus de délivrer son agrément à Anticor, et lui demandent de cesser d’entraver leur action.
La ministre de l’éducation, Amélie Oudéa-Castéra, a visité l’école Littré mardi 16 janvier, alimentant une séquence à haut risque pour le gouvernement. Les raisons de son choix controversé de la très catholique école Stanislas pour ses enfants sont battues en brèche une à une par les acteurs de l’époque.
Encore sonnée par l’épisode la loi immigration, une partie des députés macronistes encaisse mal la composition du nouveau gouvernement. Une contre-offensive se prépare à l’Assemblée nationale, où certains n’ont jamais été aussi près de claquer la porte du groupe présidentiel.
Des dizaines de manifestations ont eu lieu en France ce dimanche à l’initiative de 400 collectifs. À Paris, des milliers de personnes ont dénoncé un texte « xénophobe » et « dangereux ».
En 2017, Emmanuel Macron avait promis qu’un ministre mis en examen devrait démissionner du gouvernement. Désormais, une personne mise en examen pour « corruption » et « trafic d’influence », comme Rachida Dati, entre au gouvernement. Revue de détail du remaniement au prisme des affaires.