Caroline Coq-Chodorge
Ses Derniers articles
-
Lucie Guimier: «A travers le mouvement anti-vaccins s’exprime une défiance envers l’Etat»
De nombreux Français sont sceptiques ou hostiles à une vaccination contre le Covid. Entretien avec la géographe Lucie Guimier, spécialisée en santé publique.
-
Déconfinement: comment sortir d’une gestion autoritaire
Le discours d'Emmanuel Macron du 24 novembre 2020. © Hermann Click / Hans Lucas via AFP
Le gouvernement a raté le premier déconfinement. Face à la deuxième vague, il a été contraint de prendre, une seconde fois, des mesures autoritaires. Mais la société civile et les acteurs de la santé publique sont toujours tenus à l’écart.
-
Covid: dans un hôpital gériatrique, où les médecins refusent une surenchère de soins
Une patiente hospitalisée dans l'unité Covid de Riaumont. © CCC
L’hôpital privé de Riaumont, près de Lens, est mobilisé depuis le printemps pour prendre en charge les patients atteints du Covid. C’est un hôpital gériatrique, où la plupart des malades, trop âgés, ne sont pas admis en réanimation.
-
Circulation du virus: quel rôle joue l’école?
© Mediapart
Parce que l’épidémie de Covid-19 ne ralentit pas, la question se repose d'une réduction des effectifs dans les établissements scolaires, surtout du secondaire. Olivier Véran a jugé « possible » une fermeture des lycées si les mesures en cours ne suffisent pas. Mediapart fait le point sur les données les plus récentes, qui distinguent bien enfants et adolescents.
-
Trop tard, trop peu? Le reconfinement en question
Prise de parole télévisée, le 28 octobre, d'Emmanuel Macron annonçant le reconfinement. © Thomas Morel-Fort / Hans Lucas via AFP
La vie reconfinée reprend, sous attestation. La plus grosse différence avec le printemps est l’ouverture des écoles, jusqu’au lycée. Le ministre de l’éducation nationale continue de nier que le virus puisse y circuler. De son côté, le ministre de la santé gère la submersion prochaine des hôpitaux.
-
La tragédie d’un reconfinement impérieux et prévisible
© Mediapart
Le reconfinement était écrit dans les courbes épidémiques. Mais depuis l’été, le gouvernement a laissé filer le virus, en agissant trop tard, jamais assez fortement. L’hôpital est donc de nouveau débordé par le Covid, alors qu’en Europe, d’autres font mieux.
-
En réanimation à Marseille: «On est déjà dans un goulot d’étranglement»
Les médecins procèdent à une intubation © CCC
À l’hôpital de la Timone, à Marseille, la réanimation polyvalente ouvre de nombreux lits, bien souvent pour des malades venant de l’IHU voisin dirigé par Didier Raoult. S’ils s’entendent sur la prise en charge du malade, les médecins ont des visions divergentes de la maladie.
-
Forfait aux urgences, aides à domicile: un budget de la Sécurité sociale qui punit et oublie
L’hôpital, les malades et les aides à domicile tentent de faire leurs comptes dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2021, mais ne s’y retrouvent pas. Les entreprises du médicament, elles, sont satisfaites.
-
Métro, boulot, bistrot: la France manque de données sur les lieux de contamination
Les données manquent pour justifier le couvre-feu. Car la compréhension de l’épidémie est encore partielle. À peine un quart des cas positifs sont liés à un autre cas positif. Dans trois cas sur quatre, l’assurance-maladie ne peut remonter les chaînes de contamination.
-
A l’hôpital, le retour des sacrifices
Les courbes épidémiques descendent puis montent. L’hôpital, sans illusions, remobilise ses soignants. Les congés sont annulés, comme les stages des étudiants, envoyés sur le front du dépistage. À Lyon, les soignants positifs au coronavirus doivent travailler s’ils sont jugés « indispensables ».
- Page précédente
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
- …
- 19
- Page suivante