Le nouveau roman de Siri Hustvedt, Souvenirs de l'avenir, est un roman à thèse. Cette thèse est simple, et d'actualité : les hommes oppriment les femmes. L'accusation portée à l'encontre de Duchamp – qui aurait volé le ready-made Fontaine à son amie la baronne Elsa von Freytag-Loringhoven – constitue un point d'incandescence dans une histoire dont les femmes sont les victimes, et tout particulièrement les femmes qui font face à « un monde de l'art aveuglé par le mythe masculin ».
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous