Octobre 17. John Reed, un reporter en quête d’une cause
Le journaliste américain a été un chroniqueur de premier plan du soulèvement d’Octobre 1917. À défaut d'avoir lui-même été un acteur de la révolution russe, son engagement forme la matrice d’un personnage récurrent dans la littérature mais surtout au cinéma : le révolutionnaire romantique.
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De tous les protagonistes, petits et grands, des révolutions de 1917, un seul a eu les honneurs d’une vaste fresque hollywoodienne, récompensée par de multiples oscars. Et c’est sans doute cette œuvre qui l’a sauvé de l’oubli. Sans Reds (1981), de et avec Warren Beatty, John Reed aurait probablement terminé dans les notes de bas de pages des ouvrages d’historiens, quand bien même il aurait été un chroniqueur de premier plan des événements d’Octobre. Témoin, mais pas acteur. Ou alors seulement à la marge, et uniquement en relation avec le mouvement communiste des États-Unis, c’est-à-dire sans grande importance.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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