«Capital et idéologie» de Thomas Piketty: la propriété, c’est le mal
Du haut des 1 200 pages de son dernier ouvrage, Piketty fracasse le débat public et politique, en explorant des voies pour « dépasser le capitalisme ». Mais comment mettre en œuvre ces propositions radicales visant à redéfinir la notion même de propriété ? Et suffiraient-elles à détruire les piliers de l’hyper-capitalisme contemporain ?
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
« Il« Il est plus facile d’imaginer la fin du monde que celle du capitalisme. » C’est à rien de moins que faire mentir la fameuse sentence du philosophe américain Fredric Jameson que s’attelle Thomas Piketty dans son dernier ouvrage, qui entend fournir des outils pour « dépasser le capitalisme » en sortant d’une glaciation idéologique catalysée par les échecs du soviétisme réel.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.