Au VIIIe siècle, Llívia, petite ville pyrénéenne en Cerdagne, a accueilli un couple berbéro-occitan. Lui tué, elle exilée, le mariage a mal fini. Mais cette union, magnifiée ensuite par les romantiques, continue de nourrir le concept de convivéncia, un concept au fort potentiel politique. Premier volet de notre série sur les Pyrénées.
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Llívia (Espagne).– Convivencia : substantif espagnol, de convivir, vivre avec l’autre, mobilisé par des historiens au XXe siècle pour qualifier la coexistence inter-religieuse à l’époque d’al-Andalus, entre le VIIIe et le XVe siècle. Aux racines de ce mot et de son jumeau occitan Convivéncia, il y a une alliance matrimoniale, pyrénéenne et très ancienne. Une histoire d’expansion territoriale stoppée, de pacte de dissidents, de mariage « contre nature » et, in fine, de rétablissement de l’ordre guerrier.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
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