Santé

Corona-blues: la fête est finie

Le président l’a affirmé quasiment en ces termes. Une décision lourde de conséquences économiques mais aussi culturelles et psychologiques. « Il est nécessaire de réfléchir à comment continuer à s’amuser », plaident ceux qui ne veulent pas se résoudre à seulement travailler et dormir.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

« Ce qu’on veut surtout attraper à travers cette mesure [de couvre-feu – ndlr], c’est tout ce qui a fait progresser le virus dans ces régions, c’est-à-dire les rendez-vous “privés”, les party, les anniversaires, les moments de convivialité où on se retrouve à 50 et 60, des soirées festives, a déclaré le chef de l’État mercredi soir, en annonçant la mise en place d’un couvre-feu après 21 heures en Île-de-France et dans huit métropoles. Parce que ce sont des vecteurs d’accélération de ce virus. » Nous republions un article, paru il y a peu, qui anticipait cette situation et ses conséquences économiques, mais aussi culturelles et psychologiques.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA