Encore plus que d’habitude, la rentrée littéraire est ultra-dominée par des récits de soi en forme d’autobiographies à peine fictionnées, du bien nommé La Vie ordinaire (Gallimard), d’Adèle Van Reeth, qui raconte ses études et sa grossesse, à La Petite Dernière, où Fatima Daas décrit sa vie en famille à Clichy et sa vie homosexuelle à Paris (lire ici la critique d’En attendant Nadeau et regarder là son entretien dans « À l’air libre ».)
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