Alexandre Benalla, l’ancien «Monsieur sécurité» de l’Élysée, a comparu pendant trois semaines devant le tribunal correctionnel de Paris pour les violences du 1ermai 2018, un «selfie» avec arme, et l’utilisation de passeports diplomatiques. Tous nos articles.
Le procès d’Alexandre Benalla s’est achevé vendredi 1er octobre au soir après les plaidoiries de la défense. Le jugement a été mis en délibéré au 5 novembre.
Le parquet de Paris a requis des peines de prison avec sursis contre Alexandre Benalla et les trois autres prévenus du procès, jeudi 30 septembre au soir.
Personne ne savait que la vidéo diffusée par LREM et l’Élysée, pour aider Alexandre Benalla, avait été extraite illégalement de la vidéosurveillance policière, jurent les prévenus et le témoin Ismaël Emelien au tribunal correctionnel de Paris.
L’examen des événements du 1er mai 2018 ne tourne pas à l'avantage d’Alexandre Benalla ni de son ami Vincent Crase, qui se sont pris pour des policiers sans en avoir le droit ni le titre.
L’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron a contourné les règles pour se faire établir un passeport de service, et il utilisait deux passeports diplomatiques après son départ de l’Élysée. En toute bonne foi, jure-t-il.
Au premier jour de son procès, l’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron maintient que c’est une arme factice qu’il a braquée sur une serveuse dans l’affaire du selfie.
Alexandre Benalla, ancien « Monsieur sécurité » de l’Élysée, comparaît à partir du 13 septembre devant le tribunal correctionnel de Paris pour les violences du 1er mai 2018, le « selfie » avec arme, et l’utilisation de passeports diplomatiques.
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