«Face aux menaces qui pèsent sur notre pays, les Français attendent d’abord de nos institutions qu’elles fassent tout pour les protéger». Devant le Conseil constitutionnel ce mardi après-midi, François Hollande a, comme lors de ses vœux aux Français le 31 décembre, soufflé le chaud et le froid. Il a joué au « père protecteur de la Nation », façon de faire comprendre qu’il entend aller jusqu’au bout de sa réforme constitutionnelle.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous