Cela faisait si longtemps que les féministes n'avaient pas occupé le haut du pavé. Surtout pour parler de violences sexuelles et de harcèlement − des thématiques peu présentes dans le débat public français. Non sans raison, plusieurs craignent aujourd'hui que le non-lieu dont pourrait bénéficier Dominique Strauss-Kahn, accusé de viol par une femme de chambre à New York, ne conduise à refermer la parenthèse aussi brutalement qu'elle s'est ouverte.
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