Au procès de Georges Tron, les plaignantes tiennent bon

Malgré des difficultés dans son récit, Eva Loubrieu, plaignante interrogée par la cour d’assises, a maintenu ses accusations de viols et d’agressions sexuelles contre le maire de Draveil.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

À la troisième semaine du procès de Georges Tron, Eva Loubrieu, l’une des deux femmes qui accusent le maire (LR) de Draveil (Essonne) de viols et d’agressions sexuelles en réunion, est à la barre de la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, ce mercredi, et elle est interrogée sans trop de ménagement. À ce stade des débats, on serait bien en peine de prédire l’issue de ce procès, où les éléments matériels manquent, et où les accusations des unes se heurtent aux dénégations des autres.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal