Même Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, s’est fendu d’un coup de fil, en début de semaine, pour plaider la cause d’Anthony Smith auprès de la ministre du travail Élisabeth Borne. Le 14 août dernier, l’inspecteur du travail avait écopé d’une sanction disciplinaire lourde, entraînant une mutation d’office, à 200 kilomètres de son domicile. Il aurait aussi dû se voir privé de toute mission de contrôle dans une entreprise.
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