Au premier abord, après un an à l’Élysée, la cause semble entendue. Certes, Emmanuel Macron concentre comme jamais les pouvoirs que lui offrent généreusement les institutions présidentialistes de la Ve République et gouverne sans partage vis-à-vis de sa majorité, de ses ministres, du Parlement, des partenaires sociaux, de la haute fonction publique ou des corps intermédiaires.
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