Neuf journées d’audience. C’est le temps imparti pour dire si Georges Tron et Brigitte Gruel sont coupables ou non de « viols en réunion » et « agressions sexuelles en réunion », devant la cour d’assises de Seine-Saint-Denis. Avec un dossier touffu, une cinquantaine de témoins à entendre, et une organisation des débats assez incertaine, ce délai semble malheureusement trop court.
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