Elle veut parler pour que personne ne le fasse « à [sa] place ». Amelia* est une des plaignantes au cœur de l’enquête judiciaire pour « traite des êtres humains aggravée », « viols », « proxénétisme aggravé » qui secoue l’industrie française du porno (lire notre enquête). À 28 ans, elle se raconte avec, pour seul signe de nervosité apparent, quelques cheveux qu’elle triture entre ses doigts.
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