Politique étrangère : Mélenchon rêve d’un autre monde
Le candidat insoumis préconise une diplomatie du « non-alignement » à des fins altermondialistes, et entend restaurer les capacités du pays à se défendre seul. À ces orientations controversées, s’ajoute une tendance à minorer, par défiance envers les États-Unis, les autres menaces impérialistes.
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RussieRussie, Venezuela, Chine, Cuba… Voilà les noms de pays qui reviennent sous la plume et dans la bouche des personnes les plus critiques des positionnements internationaux de Jean-Luc Mélenchon. À ce dernier, il est régulièrement reproché une complaisance envers les autocrates et un manque d’égard pour les libertés politiques des peuples vivant sous leur joug. Généralement, l’intéressé réplique en pointant les contradictions de ses contempteurs et en arguant de la préservation de la paix comme objectif supérieur.