Libertés publiques

Les détenus, victimes invisibles de la grève des surveillants

L’observatoire international des prisons (OIP) s’inquiète des réactions de détenus privés de tout à cause du blocage des établissements par les gardiens grévistes.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Le mouvement de grève des surveillants de prison est entré dans son dixième jour, ce mercredi 24 janvier. Entamé peu après l’agression violente de trois gardiens à Vendin-le-Viel (Pas-de-Calais), le 11 janvier, le conflit porte désormais autant sur des questions de sécurité et d’effectifs que de rémunération. Les négociations avec la ministre de la justice, Nicole Belloubet, n’ont toujours pas abouti, et plusieurs dizaines de barrages, complets ou filtrants, d’établissements pénitentiaires ont été mis en place par des surveillants ces derniers jours.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal