Série Épisode 6 Nos chroniques du procès Karachi

Au procès Karachi, Naval Group revendique la corruption

Après s’être constitué tardivement partie civile dans le volet financier, le constructeur français des sous-marins a défendu devant le tribunal l’absence de faute de la Direction des constructions navales - international (DCN-i) et des responsables politiques français. Il ne demande que la condamnation des intermédiaires et de Thierry Gaubert pour « abus de confiance ».

Karl Laske

« Je continue de penser que ce n’est pas un hasard si l’on a voulu mettre un terme à la construction des sous-marins, mais je suis intimement convaincu que cela n’a rien à voir avec le versement des commissions », déclare l’un des avocats de Naval Group au procès Karachi.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter