L'affaire Alstom

Alstom : Hollande joue sa crédibilité industrielle

En obtenant un répit pour qu’Alstom examine les offres de reprise par General Electric et par Siemens, l’exécutif est parvenu à éviter une vente précipitée au groupe américain. Mais en pleine discussion sur le pacte de responsabilité pour les entreprises, Hollande a constaté que les patrons ne lui faisaient toujours pas confiance. Il joue aujourd’hui sa crédibilité en matière industrielle.

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François Hollande et Arnaud Montebourg peuvent pousser un soupir de soulagement. Mardi soir, le conseil d’administration d’Alstom leur a octroyé un léger répit, en décidant d’un délai de quelques semaines supplémentaires pour examiner et trancher définitivement entre les offres de reprise de sa branche énergie par General Electric (GE) et par Siemens. Mais si l’exécutif est parvenu à éviter une vente précipitée, dont il n’a été informé que par la presse, le chef de l’État et son ministre de l’économie jouent une nouvelle fois leur crédibilité en matière industrielle sur un dossier explosif.

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