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En Albanie, les reclus de la vendetta

En Europe, les dettes de sang existent encore. Le magazine Geo publie un portfolio de ces familles qui vivent enfermées et terrorisées depuis des années, menacées par la « gjakmarrja » (la « reprise de sang »), des décennies après un crime commis par l'un des leurs.

La rédaction de Mediapart

À 7 ans, Luan Ndrevataj est orphelin. Il vit enfermé avec la famille de son oncle dans la banlieue de Shkodër, la grande ville du nord de l'Albanie. Tous les siens sont menacés par la « gjakmarrja » (la « reprise de sang »), depuis que le père de Luan a commis un meurtre il y a dix-huit ans.

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