Série Épisode 5 Six artistes derrière les barreaux

Au Nigéria, Yahaya Aminu Sharif risque la peine de mort pour blasphème

Le cas du jeune artiste, arrêté après la diffusion d’une chanson sur WhatsApp, a fait l’objet d’une réprobation internationale assortie de pressions. L’affaire sera à nouveau jugée cet automne par la Cour suprême du Nigéria.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

L’avocat nigérian Kola Alapinni n’a eu que quelques jours pour stopper l’exécution par pendaison de son jeune client, Yahaya Aminu Sharif, condamné à mort le 10 août 2020 en raison d’une chanson jugée blasphématoire. « Son exécution aurait dû avoir lieu début septembre 2020. L’affaire devait être réglée rapidement pour rester secrète, nous explique Kola Alapinni. J’ai immédiatement contacté un média nigérian. Dans les heures qui ont suivi la publication de cette information, il y a eu un véritable tollé dans le pays, ce qui nous a aidé à déposer des recours. »

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA

Aujourd’hui sur Mediapart

Voir la Une du Journal

#FREEMORTAZA

Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

Nous ne l’oublions pas et réclamons sa libération.

En savoir plus sur #FREEMORTAZA