L’échec de Syriza illustre le défaut «d’organisation» de la gauche radicale

La victoire de Syriza a ressuscité les espoirs des partisans d’une troisième voie entre les partis communistes épuisés et la social-démocratie ralliée à la gestion néolibérale. Mais Tsipras et ses alliés ont été absorbés par l’appareil d’État.

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Voilà le seul parti de gauche radicale qui dirigeait un pays de l’Union européenne renvoyé dans l’opposition. Les dirigeants européens avaient déjà obtenu la «capitulation» idéologique de Syriza à l’été 2015, en poussant ses dirigeants à appliquer l’austérité qu’ils étaient censés conjurer. La « capitulation » électorale de la formation grecque est désormais acquise elle aussi, en dépit d’un recul contenu en parts des suffrages. 

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