International

Régis Debray: «Si Israël veut éviter un suicide, il doit prendre au mot le Hamas»

Régis Debray revient avec force, pour Mediapart, dans le sillage de l'arraisonnement de la flottille «Free Gaza», sur la course à l'abîme menée par Israël et qu'il pointe dans son livre: À un ami israélien (Flammarion).

Antoine Perraud, Edwy Plenel et Pierre Puchot

le 2 septembre 1940, Régis Debray n'y va pas par quatre chemins pour dénoncer une marche inéluctable à la guerre de la part d'Israël, «seule puissance nucléaire de la région, maîtresse de la mer, du ciel et des communications, constamment agressive de peur d'être agressée». Le philosophe a choisi de chanter sa gamme à un historien proche des travaillistes, ancien ambassadeur d'Israël en France, Élie Barnavi, sous la forme d'une lettre ouverte: À un ami israélien (Flammarion, 158 p., 12€), nantie d'une réponse de l'intéressé.

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