On peut fermer les yeux sur un mandat d’arrêt international émis par Interpol. Il suffit de ne pas le traduire. C’est ainsi que Bachir Saleh, l’ancien directeur de cabinet de Mouammar Kadhafi, est passé entre les gouttes, et qu’il a pu quitter Paris, exfiltré par l’intermédiaire Alexandre Djouhri, le 3 mai 2012, dans un avion privé, échappant au surplus à la main courante de la police de l’air et des frontières (PAF).
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