Une société espagnole a secrètement espionné pour le compte des États-Unis Julian Assange, alors qu’il était réfugié dans l’ambassade équatorienne à Londres, ainsi que les visiteurs du fondateur de WikiLeaks, allant même jusqu’à démonter les téléphones portables d’avocats ou de journalistes, a rapporté lundi 18 novembre La Repubblica.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous