Au Pakistan, le Sindh tente de se relever après des inondations dévastatrices
Dans cette région particulièrement pauvre, plusieurs villages et villes sont encore sous les eaux près de trois mois après les intempéries de la mousson et les inondations qui se sont ensuivies. La misère et les maladies font le quotidien des déplacés.
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SindhSindh (Pakistan).– Des champs submergés d’eau à perte de vue. Et des réfugié·es installé·es dans des campements de fortune sur chaque bout de terre disponible, aux abords des villages sinistrés. Depuis trois mois, les routes du Sindh (Pakistan) ont pris l’allure d’un décor de film d’épouvante : des villages entiers recouverts d’eau, des habitant·es morts noyés, des récoltes détruites et des millions de personnes déplacées internes contraintes de fuir leur maison ravagée par les eaux, perdant tout ou presque de leurs effets personnels et s’enfonçant dans la grande pauvreté.