Matteo Renzi, le Toscan qui a vidé la gauche de son contenu (2/2)

Il y a quelques mois, son nom était encore inconnu du grand public européen. Aujourd'hui, il est celui qui mène la fronde anti-Merkel à Bruxelles, et compte bien incarner, à la présidence de l'Union européenne, une réorientation des partis sociaux-démocrates européens. Le président du Conseil italien, Matteo Renzi, a construit sa carrière politique sur deux piliers : le mouvement perpétuel et l'absence d'idéologie. Deuxième volet de notre enquête.

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Qu'a fait Matteo Renzi à Florence ? Décrypter sa politique en dit long sur celui qui est aujourd'hui à la tête du PD, dirige l'exécutif italien et préside jusqu'en décembre l'Union européenne. Car « Matteo », comme tout le monde l'appelle à Florence, ne s'est pas particulièrement distingué par des mesures de gauche lorsqu'il était maire de la riche capitale de Toscane. Au contraire, il a favorisé certains intérêts économiques, fui le dialogue social... et a surtout continué à travailler son image.

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