L’année 2025 pourrait être celle de l’ouverture de négociations en vue d’un cessez-le-feu entre l’Ukraine et la Russie, après trois années de guerre. Concessions territoriales, rôle de l’Otan, force de maintien de la paix : voici ce qui sera sur la table lorsque ces discussions s’ouvriront.
Stéréotypes racistes et sexistes, appropriation culturelle, relents orientalistes… la mode française est marquée par l’histoire coloniale et l’ethnocentrisme. Au-delà des ajustements marketing, comment cette industrie pourrait-elle changer ses pratiques et ses représentations ?
Le système de santé américain est le plus coûteux et inefficace au monde. Il suscite une profonde colère chez une partie des Américains. Certains ont salué l’assassinat d’un assureur santé, mettant en balance cette vie et celles abrégées de millions de malades, incapables de se payer des soins.
Après les Pays de la Loire, d’autres régions et départements envisagent de réduire drastiquement leurs moyens alloués à la culture. Une remise en cause majeure des politiques culturelles.
Alors que le 47e président des États-Unis promet de « dégager les personnes trans de l’armée et des écoles » dès son investiture, opposants politiques et multinationales semblent déjà prêts à composer avec une transphobie d’État revendiquée.
Le nouveau locataire de Bercy se revendique comme un homme engagé à gauche. Mais c’est en réalité un macroniste convaincu, qui a toujours défendu des positions néolibérales et austéritaires de moins en moins adaptées à la situation actuelle.
Avec la réélection de Donald Trump, une ploutocratie de milliardaires est en passe de prendre le contrôle de l’État américain. Tous, à l’instar d’Elon Musk, sont issus de ce capitalisme de rente né après la crise financière de 2008. La confrontation avec les intérêts privés semble inévitable.
Le récit autour du succès de Javier Milei et de l’héroïsation d’Elon Musk traduit une poussée des idées libertariennes. L’extrême droite devient le débouché naturel de cette idéologie qui entend occuper le vide laissé par un néolibéralisme à l’agonie.
Pour la première fois, un pays de l’Union européenne a interrompu un scrutin présidentiel en raison d’une opération d’influence, derrière laquelle se devine la main de la Russie. La décision de la Cour constitutionnelle roumaine, tardive et manquant de cohérence, soulève de nombreuses questions.
Le premier ministre a conservé la moitié du gouvernement Barnier, pourtant censuré. Le reste est essentiellement constitué de revenants des trois derniers quinquennats, à l’image de Manuel Valls nommé aux outre-mer. Un exécutif toujours minoritaire et soumis au bon vouloir du RN, qui a déjà obtenu la tête de Xavier Bertrand.