L’actuel maire (RN) de Perpignan n’a pas réussi à justifier de la réalité du travail effectué par l'un de ses anciens assistants au Parlement européen, ce mardi au tribunal judiciaire de Paris.
L’acteur de 75 ans, qui devait être jugé le 28 octobre pour agressions sexuelles sur deux femmes, était absent pour raisons de santé. Son avocat a obtenu le renvoi de l’audience au 24 mars, et il s’est aventuré sur le fond de l’affaire dans une plaidoirie très virulente à l’égard du parquet et des plaignantes.
Mediapart fait des révélations, il en fait des vannes. Cette semaine, Waly Dia a enregistré sa chronique politique sur scène et en public à Toulouse, pendant son spectacle « Une heure à tuer », actuellement en tournée. Il nous parle de Gaza, du « RN qui fait barrage pour protéger le gouvernement de la démocratie » et des frais de bouche de Laurent Wauquiez.
Depuis un an, le Hamas a vu ses capacités militaires considérablement dégradées. Mais pour son premier ministre, Israël ne sera en sécurité que lorsque l’Iran et le Hezbollah auront été neutralisés, malgré la mort de Yahya Sinouar.
Dénégations indignées et protestations de bonne foi d’un Julien Odoul ou d’un Nicolas Bay ne dissipent pas le lourd parfum d’emplois fictifs dans le procès des assistants parlementaires européens du FN.
À la découverte d’une merveille de guingois : « Le Panopticum », écrit à partir de 1921 par un esprit égaré dans la Russie blanche puis rouge. Et qui devait payer de sa vie un tel dilemme bicolore : Andreï Sobol. Sa traductrice, Fanchon Deligne, le reverdit.
Neuf enfants placés par l’ASE, entre 2010 et 2017, sont venus témoigner au tribunal de Châteauroux. « Frères et sœurs » de circonstance, ils ont fait face à leurs anciennes familles d’accueil, qui n’ont jamais obtenu l’agrément nécessaire pour les héberger, et les ont pour certaines violentés. La procureure a requis 7 ans d’emprisonnement pour les deux principaux mis en cause.
L’ex-patronne du parti d’extrême droite continue de défendre avec force et aplomb la réalité du travail des assistants parlementaires européens qui sont considérés comme des emplois fictifs par le parquet de Paris.
Longuement interrogée lundi par le tribunal correctionnel, l’ex-présidente du Rassemblement national a nié que ses assistants au Parlement européen aient été des emplois fictifs destinés à soulager les finances du parti d’extrême droite, tout en assumant une divergence de vues avec l’administration européenne.
Député européen pendant trente ans, l’ancien numéro 2 du Front national a peiné à justifier devant le tribunal correctionnel le million d’euros dépensé pour trois de ses assistants parlementaires qui étaient en fait des permanents du parti d’extrême droite.