Les mémoires de Werner Herzog s’apparentent à une chanson de geste légendaire parsemée d’anecdotes, de digressions historico-scientifiques et de souvenirs familiaux, qui permettent de mieux appréhender la filmographie luxuriante de cet immense réalisateur.
Croyant parachever la reconstruction d’une cathédrale sinistrée qui lui devrait la vie, Emmanuel Macron, tout feu tout flamme à la télévision, parut mener à terme son entreprise d’achèvement de la démocratie. Retour sur une soirée cathodique affligeante.
Jugé pour avoir « passé à tabac » des militants de SOS Racisme à un meeting d’Éric Zemmour lors de la dernière présidentielle, la figure de l’extrême droite violente française a contesté les faits. Le jugement a été mis en délibéré.
Le prédicateur, accusé d’avoir attisé la haine contre l’enseignant d’histoire-géographie, refuse la moindre responsabilité dans son assassinat. À l’entendre, il serait même la principale victime de cette tragédie.
Interrogé par la cour d’assises, Brahim Chnina, le père de famille à l’origine de la polémique sur les réseaux sociaux ayant conduit à l’assassinat de Samuel Paty, a regretté ses actes, tout en rejetant la responsabilité sur les autres.
Dans le premier livre d’un projet en quatre parties, Mathias Énard part du crépuscule et de l’automne berlinois pour mener une superbe méditation sur les mystères de l’esprit, le passage du temps, la guerre et l’histoire, la mélancolie et l’amitié.
Le procureur a requis une peine de quatre ans d’emprisonnement avec sursis et 300 000 euros d’amende contre l’ancien patron du renseignement intérieur Bernard Squarcini pour son implication dans l’espionnage du journal « Fakir ».
Le médiatique religieux est venu témoigner au procès de l’assassinat du professeur d’histoire-géographie pour évoquer le harcèlement dont il a été victime de la part d’Abdelhakim Sefrioui. Une campagne de haine similaire, selon lui, à celle subie par Samuel Paty.
Entendu par le tribunal, le PDG de LVMH a contesté « toute responsabilité » dans les opérations de surveillance examinées par le tribunal et l’infiltration du journal « Fakir ». Il a accusé François Ruffin d’instrumentaliser le procès contre lui.
Le tribunal de Paris s’est penché, mercredi 27 novembre, sur les petits et grands services consentis par une escouade de fonctionnaires au profit de l’ancien patron du renseignement intérieur parti chez LVMH. Ce dernier a confié des regrets à la barre.